CONFÉRENCIERS PRÉSENTATIONS
MAHAMADOU DIARRA
Créature de Allah, je LE prie pour faire partie du cercle des amoureux du Prophète Muhammad (Que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui et sur sa noble famille). En quête de son amour, j'ai l'immense privilège de cheminer sur les traces des hommes de Dieu (les saints). Je recherche leur amour et leur guidance. Ils sont les héritiers des prophètes, ils sont les maîtres du très distingué Ordre Soufi Naqshbandi-Nazimiyya. Nous demandons leur support.
LUKE MARTIN
Né à Montréal –Nord, dans une famille mennonite en mission au Québec, Luke Martin fait des études de baccalauréat en psychologie et en récréologie à l’Université de Concordia avant d’entreprendre une année de maîtrise en théologie anabaptiste aux « Associated Mennonite Biblical Seminaries » à Elkhart, dans l’État de l’Indiana, et une année de maîtrise en théologie pratique au « Seminary Consortium of Urban Pastoral Education » à Chicago, dans l’État de l’ Illinois.
Après avoir travaillé auprès des détenus et des sans-abri pendant 6 ans et auprès des demandeurs d’asile durant 10 ans, il est devenu directeur du Centre Communautaire « Maison de l’amitié de Montréal », fonction qu’il occupe depuis 18 ans. La Maison de l’amitié a pour mission de favoriser l’intégration sociale des personnes, le développement de l’esprit d’entraide et l’engagement dans la collectivité.
DIANE ROLLERT
La révérende Diane Rollert exerce depuis 13 ans les fonctions de ministre du culte principale de l'Église Unitarienne de Montréal. Depuis la fondation de l’église en 1842, elle est la 11e ministre établie et la première femme à occuper ce poste.
Elle a obtenu sa maîtrise à la Harvard Divinity School (Masters of Divinity), après des carrières dans l’informatique et l’éducation. Elle est depuis 2015 la première femme présidente du Dialogue judéo-chrétien de Montréal et l'ambassadrice de l'Unitarian Universalist Association auprès de l'EUU - les Unitariens Universalistes en Europe. Elle a été pasteure sabbatique aux Philippines et est souvent conférencière et animatrice d'ateliers pour des organisations nationales et internationales, en plus de défendre les droits des femmes et la liberté religieuse.
Rev. Diane Rollert is in her 13th year as the principal minister of the Unitarian Church of Montreal. She is the 11th settled minister since the founding of the church in 1842, and the first woman to serve in this role.
She completed her Masters of Divinity at Harvard Divinity School, after careers in the online information industry and education. She currently serves as the first female president of the Christian-Jewish Dialogue of Montreal (since 2015), and is the Unitarian Universalist Association’s ambassador to the EUU - Unitarian Universalists in Europe. She has served as a sabbatical minister in the Philippines and is a frequent speaker and workshop leader for national and international organizations, as well as an advocate for the rights of women and religious freedom.
Towards “Universal brotherhood”
In the Unitarian Universalist tradition, the universal is right there in our name. Our forebears believed in universal salvation, that a loving God couldn’t possibly damn those who didn’t embrace a Christian message. Today we have taken that message of love much further as we embrace all of humanity. Rather than asking our members to adhere to a test of faith or a creed, our Unitarian Universalist communities welcome people who come from a wide range of beliefs, from agnostics and atheists to theists, seekers and those who might call themselves spiritual but not religious. For us, the term brotherhood is a term that is too narrow and too gendered. We believe in universal personhood that lovingly welcomes people no matter what their gender identity or sexual orientation may be. Whether one identifies as a man or a woman, heterosexual, bisexual, gay, lesbian, transgender or gender creative, and no matter where one finds oneself on the theological spectrum, we offer him-her a spiritual home. For us, moving toward universal brotherhood means moving toward universal personhood.
Vers la fraternité universelle
Dans la tradition Unitarienne Universaliste, l'universel est là en notre nom. Nos ancêtres croyaient au salut universel, qu'un Dieu d'amour ne pouvait pas condamner ceux qui n'embrassaient pas un message chrétien. Aujourd'hui, nous avons porté ce message d'amour beaucoup plus loin en incluant toute l’humanité. Plutôt que de demander à nos membres de soutenir un test de foi ou de croyance, nos communautés unitariennes universalistes accueillent des gens qui viennent d'un large éventail de croyances : des agnostiques et des athées aux théistes, aux chercheurs et à ceux qui pourraient se dire “spirituels mais non religieux”. Pour nous, le terme fraternité (" brotherhood " en anglais) est un terme trop étroit et trop sexué. Nous croyons en l'universalité de la personne qui accueille les gens avec amour, quelle que soit leur identité ou leur orientation sexuelle. Que l’on s’identifie comme homme ou femme, hétérosexuel.le, bisexuel.le, gay, lesbienne, transgenre ou créatif.ve, et peu importe où l’on se trouve sur le spectre théologique, notre église offre à tous un foyer spirituel. Pour nous, avancer vers la fraternité universelle signifie avancer vers l'universalité de la personne.